La réussite est une question de mental !

Quand Brahim Hanafi, triple champion de France de Full Contact et patron de la salle de sport Double Impact à Saintes, organise une conférence, c’est avec son ami, ancien boxeur pieds-poings de haut niveau, Mickaël Slomczynski. C’était génial !

L’objectif ? Expliquer la puissance du mental dans la victoire aux jeunes champions qu’entraîne Brahim. Vous vous souvenez de Brahim ? Il était l’un de mes premiers invités avec le billet qui lui était consacré « Le créateur de champions ».

Mickaël Slomczynski n’est pas un inconnu dans le domaine du sport. Ancien champion de MMA, il est devenu écrivain. Mais pas que… Il donne aussi des conférences dans les entreprises sur la capacité que nous avons à réussir nos objectifs, nos envies, et à surmonter nos difficultés dans la vie. Quel plaisir quand le développement personnel est expliqué avec sourire et bienveillance  !

Si vous voulez savoir ce que Mickaël nous a raconté lors de sa conférence, procurez-vous son livre « Tout est mental ou l’art de se sentir bien en toute ciconstance » sur son site : www.mslivres.fr

Olivier Caillaud, Plombier-chauffagiste & Co

Ne vous êtes-vous jamais trouvé dans une situation délicate, les pieds dans 10 cm d’eau parce que votre cumulus a lâché ? N’avez-vous jamais été excédé par le goutte à goutte incessant d’une fuite d’eau dans les toilettes ? N’avez-vous jamais passé une nuit glaciale parce que votre chauffage est tombé en rade, forcément quand il faisait – 1 ? Oh siiiii… Je vois que si… C’est à ce moment très précis que nous appelons en catastrophe, un plombier-chauffagiste qui va nous sauver du désastre !

shutterstock_491317627Ça, c’est le quotidien de l’entreprise Olivier Caillaud de Champagne en pleine saison. De septembre à janvier, les appels sont en rapport avec les entretiens des systèmes thermiques. Avec le froid qui revient, ce sont en plus, des pannes de chaudières ou de pompes à chaleur, des canalisations qui cassent…

shutterstock_711383008Pour répondre à la demande croissante des clients, Olivier Caillaud a 3 collaborateurs chargés des entretiens et des dépannages : Antoine, Cyril et Larbi. Technicien de maintenance, Larbi s’occupe exclusivement des pompes à chaleur et des chaudières fioul et gaz. Cyril, dépanneur en plomberie, intervient sur les dépannages sanitaires. Antoine, dépanneur plombier-chauffagiste gère son parc de poêles à bois et à granulés : il les entretient et intervient sur le SAV. Vous le rencontrerez également en intervention sur du sanitaire, des machines fioul et gaz. Il est, avec Olivier et Félix, un des spécialistes de la domotique dans l’entreprise.

shutterstock_647614909La maintenance et le dépannage des installations thermiques nécessitent des techniciens expérimentés. Formés en permanence sur les nouvelles technologies, ils doivent savoir devenir de vrais MacGyver lorsque la situation l’exige. Ils maîtrisent la physique, la chimie et connaissent, sur le bout des doigts, les réglementations, les spécificités des machines et les contraintes des fabricants. Ils sont capables de réparer une machine « nouvelle génération » gérée par la domotique, tout comme un vieux coucou qui a 30 ans, dont il est difficile de trouver les pièces.

Ainsi, Larbi et Antoine sont les techniciens les plus sollicités pendant ces 5 mois.

Ceci dit, le reste de l’équipe ne chôme pas non plus à cette période de l’année. Les poses de chaudières toutes énergies, les pompes à chaleur, et les poêles à bois ou à granulés sont pléthore.

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Félix, bras droit d’Olivier Caillaud, est son plus ancien collaborateur. Recruté en 1999, ils ont travaillé tous les deux ensemble pendant si longtemps, qu’ils forment un binôme essentiel pour l’entreprise. Techniciens aguerris, ils ont le goût des installations complexes. C’est à Félix qu’Olivier confie les poses les plus compliquées. Certains cas demandent une lourde expertise, et une excellente habileté technique pour respecter les contraintes de leur métier. La rénovation exige, en plus de compétences spécifiques, beaucoup d’ingéniosité pour s’adapter aux lieux déjà existants.

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Benjamin et Cyril sont installateurs sanitaires et thermiques. Autrement dit, ils procèdent à toutes les installations. Ils sont polyvalents. Cyril, en plus d’être plombier-chauffagiste, est carreleur. Cet ancien installateur de piscines et de SPA, a une préférence pour la réalisation de salles de bains du sol au plafond, des cuisines, la création des espaces pour les PMR (Personnes à Mobilité Réduites) et des douches à l’italienne personnalisées.

Pour mobiliser ses troupes Olivier Caillaud sort des sentiers battus. Il utilise la formation continue pour accroître les connaissances de son équipe et faire évoluer les postes, en fonction des goûts, des envies, des compétences transversales de chacun, et des projets de l’entreprise.

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Pour éviter la routine, le stratagème d’Olivier, est de mettre en place des interventions innovantes alliant savoir et originalité. La dernière par exemple, est de réaliser les installations sanitaires d’un bateau dans le port de La Rochelle. Le cadre et les obligations particulières de ce bénévolat ont stimulé les 6 techniciens.

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L’écologie dans le métier est un des créneaux d’Olivier Caillaud et il sensibilise son équipe à cette démarche. Alors son projet le plus exaltant, c’est le tout dernier : installer une chaudière à micro-cogénération (pile à combustible). Il s’agit d’une machine, qui par électrolyse, génère en partie l’électricité utilisée par la maison et peut être stockée dans des batteries. Dernière technologie de pointe haut de gamme, couramment installée en Allemagne, ce bijou écologique est un vrai défi.

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La preuve ! 250 chercheurs ont élaboré cette machine incroyable. Seulement 7 ont été posées en France. Olivier Caillaud et son équipe rêvent de se positionner dans les premiers installateurs. Il s’agit surtout de relever un exploit technique que peu d’entreprises sont capables de réaliser.

Le challenge quotidien de ces hommes demande énormément de concentration malgré tout. Alors pour se détendre, chacun a son truc : Félix chasse à l’arc, est artificier et conseiller municipal. Cyril est un motard qui adore la musique et la navigation à voile. Larbi aime la rando et la natation. Benjamin est DJ. Antoine, c’est le kick boxing et la boxe anglaise qu’il pratique en combats en amateur. Olivier s’adonne à la pêche en mer toute l’année.

Mais tout ce petit monde n’est rien sans les filles du bureau !

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Sylvie et Christelle travaillent avec, et pour les techniciens. Elles gèrent leurs plannings et accueillent les clients. Chacune a ses spécialités. Christelle est en charge du secrétariat et de la comptabilité, et Sylvie de la gestion, la communication, et des Ressources Humaines.

Olivier Caillaud orchestre ce microcosme, manage et s’occupe des relations clients et fournisseurs. Il préfère parler « d’accompagner ses collègues » plutôt que diriger. C’est un terme qu’il n’aime pas. Adepte des entreprises libérées, il prône un management horizontal plutôt que pyramidal. Il considère que ses salariés sont ses collègues.

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« Quand on passe les 2/3 de son temps dans une entreprise, je considère le bien-être au travail primordial. On peut faire en sorte que les gens bossent mieux, avec le moins de stress possible, dans un respect mutuel… Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de règle. Il y en a, mais nous en discutons pour qu’elles soient mieux acceptées, bien vécues. Parfois elles sont adaptées pour qu’elles soient viables. J’étais salarié pendant 14 ans. J’avais un patron misanthrope qui méprisaient les gens avec qui il travaillait. Je ne veux pas ressembler à ça ! Un contrat de travail, c’est un échange. Un collaborateur donne son savoir-faire. En échange un employeur donne de l’argent. Cet échange est bien plus agréable, quand chacun a plaisir à remplir sa mission… ».

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Les entreprises libérées ne sont qu’une partie des valeurs d’Olivier Caillaud. Passionné par son métier d’Artisan, il est un des administrateurs de son bureau des Plombiers-chauffagistes de CAPEB. Cette organisation patronale corporative représente 98 % des entreprises du Bâtiment et œuvre pour améliorer les conditions de travail, les réglementations pour les artisans, leurs salariés et leurs clients.

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Le cheval de bataille d’Olivier est celui de la formation et de la transmission du savoir. En effet, il explique l’importance et l’urgence qu’il y a, aujourd’hui, à former des hommes mais aussi des femmes à des métiers, qui non seulement recrutent, rémunèrent bien, mais sont des métiers d’avenir.

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Etre Artisan, c’est être expert dans son domaine, mais c’est aussi être chef d’entreprise. C’est une fonction exigeante, souvent difficile, parfois ingrate. S’il aime cette fonction, c’est parce qu’il aime la liberté qu’elle procure. Liberté relative somme toute. Alors, pour découvrir d’autres expériences que celle du Bâtiment, il est membre du CJD (Club des Jeunes Dirigeants) où se côtoient des dirigeants de divers horizons.

« L’évolution de la fonction de dirigeant n’a plus rien à voir avec celle d’il y a 20 ans ou même 10 ans. Etre respectueux des personnes avec qui on travaille, n’exclue pas le fait de gérer une entreprise et gagner de l’argent avec. Le respect et la courtoisie ne sont pas antinomiques des bénéfices. Et puis aujourd’hui, tout va très vite, tout évolue… Ce n’est pas si simple d’être chef d’entreprise. Nous devons être des experts en tout ! Mais le plus dur je crois, c’est de réussir à garder du temps pour sa famille, pour soi… »

Ce discours-là, il ne le tenait pas en octobre 1998 quand il a créé son entreprise, après un licenciement d’ordre économique. Avec 20.000 Francs de l’époque (3.000€), il a réparé un J9 et s’est lancé. Volontaire et travailleur, sa réputation d’homme honnête et professionnel a fait le reste.

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Après un changement radical dans sa vie personnelle il y a 7 ans, Olivier a changé sa vision professionnelle. Finalement, c’est en reconstruisant sa vie, qu’il a retrouvé un nouveau souffle dans sa boîte, il y a 3 ans. Il a partagé la gestion de son entreprise avec sa nouvelle compagne.

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Ayant la même vision du business et du travail, ce couple d’artisans se retrouve à CAPEB (Confédération Artisanale Pour les Entreprises du Bâtiment) pour défendre conjointement les valeurs de l’Artisanat. Sylvie est Vice-Présidente de la Commission Départementale des Femmes d’Artisans de la Charente-Maritime. Cette branche féminine de la CAPEB représente environ 1200 entreprises.

La concurrence est rude et les habitudes de consommation ont changé en 10 ans. Les clients cherchent des entreprises de proximité et sont de plus en plus exigeants. Ceci explique peut-être cela :

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« Je crois que les clients pensent que les artisans sont disponibles 24h/24 et 7j/7. Beaucoup ignore que nous sommes des entreprises avec des horaires d’ouverture au public. J’ai une amie commerçante qui me fait beaucoup rire quand elle dit : j’ai une vie privée… Privée de tout certes, mais privée quand même ! (Rire) ! C’est exactement ça… Quand nous voulons nous reposer, nous devons partir, sinon un client nous trouvera toujours… »

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Ça, c’est peut-être la raison qui fait qu’Olivier amènera Sylvie en Nouvelle-Zélande d’ici deux ou trois ans. Ils partiront 5 à 8 semaines, pour randonner dans les Alpes Néo-zélandaises, pratiquer la pêche de mer, et faire des photos…

Alors, elle est pas belle la vie ?

Rédigé par Adélaïde

Plombier-Chauffagiste, un métier méconnu

Le métier de plombier-chauffagiste est peut-être le métier du Bâtiment le moins bien connu. Pourtant son histoire est fascinante puisque ces techniciens nous permettent de vivre dans des habitations fonctionnelles, confortables et tendances.

En effet, si chaque technicien pratique les deux métiers, ils sont, en général, des spécialistes dans chacun dans leurs domaines.

Johnyksslr @Pixabay
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La peur de la pénurie des énergies fossiles rend les industriels créatifs depuis le choc pétrolier de 1973. Ainsi, l’écologie et l’économie sont des mobiles incontestables pour les chercheurs qui font évoluer les machines installées grâce à des technologies de pointe. Les énergies renouvelables (solaires, éoliennes, et géothermiques) qui sont à la mode aujourd’hui, sont presque déjà dépassées quand elles sont utilisées seules. Pour plus de performance, la capacité des fabricants à les associer les unes aux autres, est colossale.

Les installations thermiques et frigoriques…

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Ce sont peut-être celles qui ont le plus bénéficié de la recherche de pointe. Si à une époque le seul système de chauffage était le bois, aujourd’hui les sources de chauffages sont multiples. Les machines de certains fabricants, comme Viessmann, sont si performantes qu’elles arrivent même à produire leur propre énergie.

L’évolution de l’économie et des habitudes de vie ont bouleversé ce métier. Régie par des multitudes de contraintes (réglementaires, chimiques, physiques, écologiques et économiques), la science a permis une vraie mutation des installations thermiques et frigoriques.

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La domotique par exemple, permet aujourd’hui de gérer le système de chauffage ailleurs qu’à son domicile, voire de l’étranger, avec son Android. Une simple connexion Wifi pour le consommateur est nécessaire. Allumer son chauffage du Japon pour que la maison soit chaude à son arrivée et à la température souhaitée à une heure très précise, est tout à fait possible. Tout comme choisir de faire installer un système pouvant chauffer l’hiver et rafraîchir la maison l’été. D’ailleurs, les interventions sur ces machines issues de la nouvelle technologie sont maintenant faites par un technicien chauffagiste ou frigoriste qui gère et répare son parc de machines de son ordinateur pour les réglages. Parfois, un déplacement est nécessaire pour les entretiens annuels et le remplacement des pièces.

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L’évolution de ce métier est telle qu’en-dessous d’un BP (niveau IV) Monteur en installations du Génie Climatique et sanitaire ou d’un BTS en maintenance des systèmes énergétiques et fluidiques, qu’il est difficile de répondre à l’entretien d’un parc de machines récentes ou âgées d’une vingtaine d’années. L’expérience est indispensable, en plus de la connaissance. Il n’est pas rare que les interventions demandent plusieurs techniciens sur un même dispositif, selon leurs spécialités.

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Les consommateurs ont du mal à imaginer une telle amplitude pour des métiers qui ont été sous-estimés bien souvent. La plupart des utilisateurs ignorent qu’aujourd’hui ces professions requièrent jusqu’à 6 années d’apprentissage, ainsi qu’une formation annuelle accrue pour un technicien expérimenté.

Les prix des installations et des interventions s’en ressentent forcément : plus de technicité, plus de compétences pour des matériels de hautes performances énergétiques.

Les habitudes de travail et de gestion des entreprises du Bâtiment ont donc tout naturellement évolué.

Les installations sanitaires…

Les aménagements dans les habitations sont de plus en plus orientés vers le confort, l’écologie, l’économie et la décoration.

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Il est vrai que les nouvelles conditions de vie ont changé les habitudes des consommateurs, et de ce fait, celles des artisans. L’aménagement des volumes dans les espaces d’habitations devient essentiel pour une population qui ne rajeunit pas et/ou qui a des problèmes de mobilité.

Les cuisines, salles d’eau et salles de bains se veulent synonymes d’une bonne condition sociale. Pièces de luxe, l’installation sanitaire devient l’apparat d’un signe extérieur de richesse.

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Les fabricants produisent des matériels issus de la recherche là encore, mais aussi adaptés à une écologie principalement liée à l’économie de la consommation d’eau.

Des entreprises fabriquent des robinetteries de moyenne et haut de gamme (nouvelles normes), qui garantissent moins de consommation d’eau, et qui permettent également une économie de la production d’eau chaude et, par extension, de gaz.

Un peu d’histoire…

Mais ce que nous ne connaissons pas aujourd’hui, c’est l’histoire de ces deux métiers.

AnnaER @Pixabay
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Les plombiers étaient ceux qui travaillaient le plomb des gouttières et des terrasses, puis avec l’avancée de la technologie, des conduites d’eau. Du moyen-âge au XIXème siècle, les plombiers sont répertoriés en 3 catégories : les plombiers qui travaillent le plomb, les fontainiers qui travaillent sur les conduites et les réseaux d’eau, et les pompiers qui étaient eux des spécialistes des pompes pour la circulation des eaux.

C’est en 1548 qu’Henri III dissocie les statuts des plombiers de la corporation des couvreurs.

Les plombiers ne travaillent que le plomb, que ce soit la façon des ouvrages sur les toitures (terrasses, gouttières, épis, paratonnerres, décorations) ou des canalisations.

Hanslinde @Pixabay
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Au XVIIème siècle, les plombiers délaissent peu à peu les toits pour ne conserver que la gestion des conduites d’eau. En 1648, le plomb est devenu tellement rare et cher que les vols sont fréquents. Une loi promulgue l’obligation pour les blocs de plomb d’être frappés par la marque du plombier.

Les plombiers deviennent plombiers-zingueurs quand le baron Haussmann impose le zinc en 1853 quand il rénove Paris.

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Au XIXème siècle, les éclairages des voiries avec des becs de gaz étaient reliés à de gigantesques réservoirs. Ils étaient alimentés par des milliers de kilomètres de tuyauteries et de canalisations. C’est l’émergence d’un nouveau métier : les plombiers-chauffagistes.

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Pourtant le chauffage existe depuis l’Antiquité. Les Grecs étaient les géniaux inventeurs du chauffage central pour les thermes et les villas luxueuses, système perfectionné par les Romains. L’hypocauste était une installation complexe qui permettait tout de même d’atteindre les 30 degrés dans une pièce. Le peuple, quant à lui, bénéficiait de braseros pour se chauffer.

Mais c’est lors de l’invasion de la France par les Romains que nous découvrons les cheminées.

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Au IXème siècle apparaissent les poêles, de l’Alsace à la Russie. Puis, au XIIème siècle ce sont les cheminées décoratives ainsi que les poêles en céramique et en faïence réservés exclusivement aux classes les plus favorisées. Ils évolueront jusqu’au XIXème siècle. Pour le commun des mortels, le chauffage était un brasero constitué d’un simple pot en terre cuite dans lequel étaient mises des braises pour chauffer une pièce.

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Au XIXème siècle lors de la révolution industrielle, l’entreprise Godin invente le poêle en fonte qui diffuse mieux la chaleur. Ils sont utilisés avec du charbon pour chauffer l’air, mais aussi l’eau et la vapeur. En 1877 à Paris, la vapeur sera remplacée par la production d’eau chaude et c’est la firme Chappée qui commercialise ce système dès 1900.

Le XXème siècle, c’est l’âge d’or du chauffage central avec production d’eau chaude :

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  • 1930: utilisation du chauffage central et de l’eau chaude pour les sanitaires.
  • 1950 : apparition des chaudières fioul et gaz.
  • 1971: naissance du chauffage électrique.

Le XXIème siècle, c’est la course à la performance avec une régulation toujours plus efficace pour permettre une meilleure gestion de la température ambiante intérieure.

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Les nouvelles machines qui arrivent sur le marché sont des bijoux de technologie qui demandent de plus en plus de compétences.

Alors, le saviez-vous ?