Épisode 17 : Jour 2 – Merida/Algéciras

Publié le 11 octobre 2018 - Chroniqueur : Adélaïde

Jeudi 11 octobre : Merida/Algéciras

Ce soir, c’est de bonne heure que l’équipage 231 va se coucher. Car demain, debout à 4h pour prendre le bateau pour Tanger et traverser Gibraltar.

Petit récap de la journée :

 

Stéphanie a donc conduit de Merida à Séville puis Audrey a pris le relais jusqu’à Algéciras où elles sont arrivées vers 13h. Arlette et Yvette sont des chipies ! Elles ont découverts que les sièges du bolide sont chauffants : « Arlette a fait des blagues à Yvette ! » racontent-elles avec malice.

@Arlette et Yvette
@Arlette et Yvette

 

A Algéciras, premier Check Point : elles ont récupéré leur premier road book et les billets aller-retour pour le bateau (de demain matin) pour Tanger.

Déjeuner, puis débrief à 15h45 où le directeur de la course a fait part aux participantes du programme de la semaine, et leur a donné quelques conseils.

 

Rappelez-vous, Arlette et Yvette devaient trouver une boussole de compét. Ce fût chose faite après le débrief en allant faire quelques emplettes.

Il est à noter que les filles ont tout de même eu le plaisir de faire connaissance de Romain de l’Assistance Mécanique puisqu’il y avait une ampoule du phare arrière droit à changer. Sans compter que dans l’Assistance Méca, il y a Pascal (le propriétaire du 4×4 de nos minettes) qui est venu les saluer.

Côté moral, c’est la grande forme ! Elles ont été rassurées par le débrief de Jean-Jacques Rey. Un peu d’appréhension peut-être pour certaines étapes à venir qui ne seront pas forcément faciles. On y reviendra dans les jours prochains.

Bref, nos minettes sont là pour relever un défi ! Ce sera chose faite dès demain !

A propos de l’auteure

Fille d’un artisan-expert judiciaire, puis chef d’entreprise à mon tour, j’ai décidé de quitter le nid familial pour voler de mes propres ailes. J’ai alors œuvré dans le 1er groupe de presse français pendant 15 années. La filiale dans laquelle je travaillais a fermé ses portes après plus de 40 ans d’existence. D’un malheur est né un rêve. Je me suis alors inscrite dans une célèbre école de journalisme. Et mon diplôme d’attachée de presse en poche… Me voici…

Vous allez découvrir que je suis spontanée, capricieuse, espiègle, malicieuse faut-il croire, rêveuse sûrement, contemplative absolument, timide beaucoup et agaçante semblerait-il, sans aucun doute, pour certains…

Ce sont assurément pour toutes ces raisons, qu’il vaut mieux que j’écrive, c’est encore là que je reste la plus mignonne… Quoique !

Contactez-moi !

error: Content is protected !!